Le château des templiers

 En ce jour de la Ste JULIE (Santa Ghjulia était native de Nonza, et contemporaine de Santa Divota, c'est-à-dire sous le règne de Dioclétien, au tout début du IVe siècle. Parce qu'elle refusait de sacrifier aux dieux, les Romains la torturèrent. La légende a retenu particulièrement l'un des supplices : ses bourreaux lui coupèrent les seins et les jetèrent contre les rochers, en contrebas du village de Nonza ; deux fontaines jaillirent aussitôt de la roche. Le miracle enragea ses bourreaux, qui l'attachèrent à un figuier et la laissèrent mourir dans la souffrance. une colombe s'échappa de sa bouche à sa mort.

Nous étions 8 académiciens et 2 invités

Romu qui commence à devenir célèbre au sein de l'académie

et Jean Louis un ex gendarme en retraite.

Le repas du jour était préparé par

qui nous avait invité dans le chateau d'un ami à lui, au coeur des Cévennes.

Le dicton du jour : Mangeons bien, mourront gras tant pis pour les porteurs.

Une grande pièce toute meublée d'époque, nous était réservée exclusivement. Nous avons donc pu prendre l'apéritif et le repas dans cette grande salle.

Tous les couverts nous étaient pretés. Seuls les apéritifs et le repas étaient emmenés par MONSEIGNEUR.

Une magnifique table était dressée.

Nous avions même nos ronds de serviette à notre nom. Ca, c'est de la réception ou je ne m'y connait pas.

En amuse-gueules, nous avions des oeufs de caille à la crème d'anchois et capres,

tomates cerises aux miettes de thon

mini vol au vent au aubergines, tomates, olives et aromates du jardin.

Nous avons eu la surprise de voir arriver pour quelques instants, CARLOS qui avait l'air bien fatigué de sa maladie.

ah ! ca y est, MONSEIGNEUR se lève, c'est l'heure de se mettre à table.

Les seigneurs aujourd'hui, c'etait nous.

Nous avons débuté le repas par un aspic de foie gras truffé, confis d'oignon et salade roquette.

Vous avez vu la présentation ?? le top d'un 4 étoile.

tout le monde les mains sur table s'il vous plait, vous êtes pour quelques heures des templiers.

Nous continuons par un magret de canard sur lit d'ananas à la mexicaine.

Ensuite, nous fut servi une morue à la Cévenole et son écrasé de pomme de terre au piment d'espelette.

Pour le fromage, une surprise. sur une tranche de pain, du pélardon à la crème de thym.

Romu se met minable et nous aussi d'ailleurs.

En dessert, une mini omelette norvégienne à la pistache.

Un magnifique gateau aux abricots et au rhum concocté par J.R. le roi du gateau.

Même le café était agémenté de gourmandises.

Alors là, vraiment ce repas mérite un 18/20.

Ne pas oublier le champagne et une eau de vie de coing de 1953 emmenée par J.R.

Il a même réussi à trouver un coin dans la pièce pour pourvoir faire sa sieste.